Cariatidi al Louvre (foto RV)
Théodore de Banville (poeta francese, nato a Moulins 1823, morto a Parigi 1891 nella sua abitazione in rue de l’ Éperon, tomba al Cimitero di Montparnasse) dedica loro il poema Les Cariatides (1842). Qualche verso: "C’est un palais du dieu, tout rempli de sa gloire.
/Cariatides sœurs, des figures d’ivoire/
Portent le monument qui monte à l’éther bleu,
/Fier comme le témoin d’une immortelle histoire.
/Quoique l’archer Soleil avec ses traits de feu/
Morde leurs seins polis et vise à leurs prunelles,
/Elles ne baissent pas les regards pour si peu.
/Même le lourd amas des pierres solennelles
/Sous lesquelles Atlas plierait comme un roseau,
/Ne courbera jamais leurs têtes fraternelles…"
Delizioso il cortometraggio di Agnès Varda, Les dites Cariatides [Le cosiddette Cariatidi] (1984 e 2005), sulla loro presenza graziosa, leggera, sensuale, a volte enigmatica, contributo alla seduzione e al mistero di Parigi.
Nessun commento:
Posta un commento